![]() L'épopée atlante ((( Actualités atlantes - 3ème trimestre 2006 ))) |
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JUILLET 2006: "QUAND LES PIERRES PARLAIENT AUX ÉTOILES" Notre site 'L'Épopée Atlante' est particulièrement fier d'accueillir en exclusivité le travail de Michel DEMARIA "Quand les pierres parlaient aux étoiles", consacré à la recherche (et à la découverte!) du langage sacré mondial des civilisations disparues. L'auteur nous avait déjà confié en 2003 ses textes sur "Les chemins des étoiles" ou "Le langage initiatique venu de la nuit des temps", mais le texte dont la publication commence ce mois-ci révèle une plus grande profondeur de réflexion encore, les hypothèses sont à la fois mieux étayées et plus ambitieuses et recèle des découvertes qui devraient passionner à juste titre nos lecteurs. Une publication qui va vite devenir un élément incontournable pour tous ceux qui veulent aller plus loin que les vérités formatées. Accédez directement par ce lien à la nouvelle section "Quand les pierres parlaient aux étoiles"
"L'ATLANTIDE" de Pabst (film, 1932)
Retrouvant enfin son bataillon, le capitaine Saint-Avit, accompagné de l’officier Morhange, raconte l’incroyable aventure dont ils furent victimes : faits prisonniers par la mystérieuse reine de l’Atlantide, la belle Antinéa, celle-ci ordonna à Saint-Avit de tuer son camarade. Grâce à la complicité d’une servante, Morhange parvint à fuir...
ΛYXNOΣ n°108 revue de culture grecque pour non spécialistes La 108ème édition du magazine de l’association Conaissance hellénique est parue. On y lit en particulier un article qui fait le point sur les relations entre le mythe de Platon sur l’Atlantide, et les restes de Théra, mais aussi une intéressante étude des occurences du serpent dans l’Iliade. On peut commander le numéro ou bien s’abonner à la revue en écrivant à l’adresse suivante : Connaissance hellénique, revue ΛYXNOΣ, Faculté des Lettres, 13621 Aix-en-Provence. (information tirée de la revue électronique "Le Portique" http://www.portique.net/)
AOÛT 2006: La plus ancienne écriture (1) ? Une tablette de pierre datée d’environ 7000 ans et trouvée en Bulgarie, porte des inscriptions gravées qui pourraient s’avérer être les plus anciennes inscriptions jamais découvertes. « Ces signes sont uniques et ont visiblement une signification », a déclaré l’archéologue bulgare Nikolai Ovcharov au cours d’une récente conférence de presse. La tablette provient d’un collectionneur privé qui l’aurait découverte il y a une vingtaine d’années.
Nouveau! La Fondation "PARC ARCHEOLOGIQUE": Pyramide Bosniaque du Soleil (Visoko, Bosnie-Herzégovine) dispose maintenant d'une version française. http://www.pyramidebosniaque.fr/1.html On pourra ainsi suivre plus facilement les résultats des fouilles entreprises et avoir aussi quelques échos des controverses toujours en cours...
Nouvelles recherches sur Santorin Une très récente étude menée conjointement par l’Université de Rhode-Island et le Centre Grec de recherche maritime montre que l’éruption de Thèra a jusqu’à présent été sous-estimée et que son importance réelle est à révaluer d’au moins une fois et demie. L’éruption
aurait ainsi projeté hors du cratère un volume de matériaux
magmatiques nouvellement évalué à 60 km3 (alors
que par comparaison le volume expulsé par celle du Krakatoa est
estimé à 25 km3 !). Sigurdsson est convaincu que ce souffle a joué un grand rôle dans la mythologie des Grecs antiques et que la mythologie développée autour de cette gigantesque éruption doit être responsable de la légende de l'Atlantide. Il compare également l'événement à ce que dit Hésiode dans sa Théogonie. Ce poème décrit les batailles entre les Dieux et les Titans sur l’Olympe avec des termes qui peuvent très bien, d’après lui, décrire une éruption volcanique : des pierres sont projetées en l’air, la mer bout, de la fumée sort de la terre, etc. Les ancêtres d’Hésiode ont assisté à quelque chose d’incroyable se produisant en mer et ils ont créé ce mythe pour l'expliquer suggère-t-il.
http://www.usatoday.com/tech/science/columnist/vergano/2006-08-27-ancient-volcano_x.htm http://news.bbc.co.uk/1/hi/sci/tech/5287124.stm SEPTEMBRE 2006: Pyramides en Europe : après la Bosnie, l’Ukraine ? Des archéologues viennent d’annoncer la découverte de pyramides en Ukraine orientale près de la ville de Luhansk. Les monuments découverts sont actuellement enterrés, mais les premiers dégagements laisseraient entrevoir un complexe religieux de grande taille. Découverte contestée (bien sûr !) par l’Académie des Sciences locale, et accueillie avec joie (bien sûr !) par les responsables du tourisme qui projettent déjà la construction d’un hôtel à proximité. Mêmes causes, mêmes effets ? http://news.bbc.co.uk/2/hi/europe/5322894.stm La plus ancienne écriture (2)... d’Amérique ?
extraits d'un article de John Bohannon.paru dans la revue internationale 'Science', éditée par l'Association américaine pour l'avancement des sciences (AAAS). Traduction et adaptation de Pierre Kaldy pour Le Figaro (30 septembre 2006). (...)
L'histoire est simple pour Stjepan Coric, un géologue bosniaque
de l'université de Vienne en Autriche initialement invité
par Osmanagic à examiner la colline. Les blocs de rocher
ne sont que les fragments d'un type de sédiments appelé
brèche qui formait le fond d'un lac il y a 7 millions d'années
et a été ensuite soulevé par des forces naturelles
pour lui donner sa forme angulaire. Pour les tunnels,
« s'ils ont été faits par l'homme, dit-il, sans
connaître leur âge, on peut supposer qu'ils faisaient
partie d'une ancienne mine ». Pour Anthony Harding, «
c'est juste une colline ». Amer
Smailbegovic, un géophysicien qui dirige une société
d'observation de la Terre et enseigne à l'université de
Sarajevo dit qu'Osmanagic n'a pas pris la peine de regarder leur rapport
basé sur des images par satellite. Celui-ci concluait à
l'origine naturelle du relief et qu'un travail archéologique
méticuleux devait être effectué pour déterminer
une éventuelle intervention humaine. « Après le
passage d'Osmanagic, s'alarme un archéologue désireux
de garder l'anonymat pour ne pas perdre la possibilité de travailler
dans le pays, nous ne saurons peut-être jamais ce qu'il y avait
vraiment ici. Le matériel archéologique est entre la surface
et la roche sous-jacente, mais pour un chasseur de pyramides, ce ne
sont que des gravats à déblayer ». Osmanagic dit
qu'il en est conscient et qu'il publiera ses résultats dans une
revue à comité de lecture en novembre. « Mais l'approbation
d'une élite scientifique ne m'intéresse pas, dit-il. Ce
projet est pour le peuple. » L'article
complet est (pour quelques temps ?) ici :
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