Accueil


L'épopée atlante
((( Actualités atlantes - 4ème trimestre 2005 )))


Plan

[ Yume ni rakedo motometari ]

[La première traduction française intégrale du OERA LINDA BOK ]

[ Une "Pyramide du Soleil" en Bosnie ? ]

[ Où l'on reparle de Bimini... ] [Atlantis, de David Gibbins (roman) ]

 

 

OCTOBRE 2005:

Yume ni rakedo motometari

Yume ni rakedo motometari (je cherche la paix dans mes rêves)... est un site né la même année que "L'Épopée Atlante", en 2001. Il est actuellement un peu ensommeillé et on aimerait que cette "actualité" redonne à son "auteure" l'envie de se réveiller... L'info du mois dernier concernant le "blog" "En direct de l'Atlantide" nous a fait souvenir, en effet, qu'il y avait eu un précédent... "YUME NI..." est avant tout un roman qui compte déjà 22 chapitres passionnants et même si les livraisons sont irrégulières l'histoire mérite de se dérouler jusqu'à son terme... Allez !, Marie-Aude, au travail ! ...

*

LA PREMIÈRE TRADUCTION FRANÇAISE INTÉGRALE DU OERA LINDA BOK

Présentation

Dans la seconde moitié du XIXe siècle, le Docteur J.G. Ottema, fermement convaincu de son authenticité, fit paraître à Leeuwarden, en Frise néerlandaise, un livre étrange, prétendument transmis de génération en génération, qui lui avait été confié pour traduction par Cornelis over de Linden, premier contremaître des chantiers navals de Den Helder (Hollande). Il l’intitula THET OERA LINDA BOK.

L’ouvrage, était un fourre-tout de style biblique, mêlant genèse, textes religieux et sapientiaux, codes de lois, récits de périples de hardis navigateurs frisons, paraboles et relations historiques plus ou moins légendaires. Il était rédigé dans une langue particulière, différente tant de l’ancien frison que de l’ancien néerlandais et usait d’un alphabet propre qui évoquait quelque peu l’alphabet grec.
L’engloutissement de l’Altland (la vieille terre), en 2193 avant Jésus-Christ, y marquait le début de l’ère frisonne. Le peuple frison y était présenté comme l’inventeur de l’écriture, du droit et de la démocratie.

Dès sa parution, l’ouvrage suscita aussi bien l’intérêt que la méfiance et la polémique. La plupart fondaient leur scepticisme sur les étymologies cocasses, l’invariabilité de la langue au cours du millénaire et demi qu’aurait duré sa rédaction, et l’importance démesurée accordée au peuple frison.
D’autres, comme le triple Docteur Frans J. Los, y relevaient des données inconnues de tous au XIXe siècle et estimaient qu’on pouvait, avec la circonspection nécessaire, utiliser ce manuscrit comme source historique.
En tout cas, l’intérêt pour THET OERA LINDA BOK ne s’est jamais démenti : à ce jour, on lui a consacré quelque mille publications. De nombreux sites Internet s’y réfèrent. Le mouvement New Age s’en est emparé. Il existe même des groupes qui y puisent leur règle de vie.
D’emblée, on chercha à démasquer le faussaire ou le mystificateur. On désigna d’abord Cornelis over de Linden puis Eelco Verwijs, éminent linguiste et historien de la littérature.

En 2004, Goffe Jensma, historien de la culture et spécialiste de la littérature frisonnes du XVIe au XIXe siècle, a consacré au OERA LINDA BOEK (graphie néerlandaise) une thèse de 467 pages où il développe les révélations posthumes de Johan Winkler (1840-1916) : l’auteur en serait le pasteur moderniste François HaverSmidt. Pour ridiculiser le littéralisme des chrétiens traditionalistes, il aurait eu l’idée d’écrire un texte d’allure biblique dont il aurait eu l’intention de révéler ensuite la fausseté. Il aurait recouru pour ce faire aux connaissances linguistiques d’Eelco Verwijs et aurait confié la confection matérielle du manuscrit à Cornelis over de Linden. La naïve conviction de son ancien professeur Ottema serait venue contrecarrer ses plans et imposer le silence au trio.
Magistralement orchestrée par Goffe Jensma, cette présentation des faits paraît très vraisemblable. Jensma reconnaît toutefois qu’on ne peut dépasser le stade de la spéculation et étayer juridiquement l’opinion de Winkler.
Il apparaît par ailleurs que Cornelis over de Linden disposait bel et bien d’écrits anciens disparus après incorporation dans l’OERA LINDA BOEK. L’OLB, une mystification ? Sans doute ! Mais à partir de sources bien réelles ? Quant aux questions posées par Los, Jensma ne les aborde même pas. Le débat n’est donc pas clos. Cette première traduction française intégrale entend permettre au public francophone de se faire une opinion.

L'ouvrage

L’ouvrage compte 214 pages A4 disposées horizontalement de façon à pouvoir rassembler sur une même page, la page originale photocopiée (parfaitement lisible parce que le copiste écrivait très grand), la transcription dans notre alphabet, la traduction française et les notes de Jacques FERMAUT. Il s’ouvre sur un AVIS DU TRADUCTEUR AU LECTEUR de 2 pages et sur 18 pages d’introduction du docteur J.G. OTTEMA et se clôt sur une table des matières. Il est vendu au prix de 25 € plus 5 € pour envoi par la poste sous enveloppe matelassée.

L'auteur
(chez qui on peut se procurer le livre)

Jacques FERMAUT, auteur de cette traduction indispensable est Flamand de France, bilingue, licencié en lettres et en néerlandais.
Son adresse: 13, rue de l'Eglise / 59380 BIERNE
.

 

NOVEMBRE 2005:

Une "Pyramide du Soleil" en Bosnie ?

Près de la ville de Visoko, à 30 kilomètres au nord de Sarajevo, il y a une pyramide en pierre d’une taille monumentale affirme l'archéologue bosniaque Semir Osmanagic, qui vit et travaille aux Etats-Unis. Après plusieurs mois de recherche géologique et archéologique, M. Osmanagic a conclu que sous la colline de Visocica se dissimule une pyramide à degrés vieille d’environ 12 000 ans. Osmanagic, qui a étudié intensivement les pyramides d’Amérique, d’Asie et d’Afrique pendant les 15 dernières années et a écrit plusieurs livres sur le sujet, dit qu'il est tout à fait sûr il a trouvé la première pyramide en Europe, qui soit tout à fait semblable à celles de l’Amérique méridionale. Au sommet de la pyramide bosniaque « du soleil » se trouvait un temple, construit par des pre-Illyriens, peuple qui a vécu, selon Osmanagic, il y a 27 000 ans. M. Osmanagic pense qu'il résoudra le mystère de "la pyramide bosniaque du soleil" dans les cinq années à venir, mais tente de prouver également l'existence "de la pyramide bosniaque de la lune", se trouvant sous une colline voisine. La pyramide est haute de 100 mètres et évidemment elle contient des salles et une chaussée monumentale. Le plateau est construit à l’aide de blocs de pierre, qui indiquent la présence à l'époque d'une civilisation fortement développée. Les excavations archéologiques près de la surface ont permis de mettre à jour un pan de mur et des fragments d’escalier. Le géologue Nada Nukic indique que la colline de Visocica ne pourrait pas avoir été formée ainsi naturellement. Affaire à suivre...

source: http://dino.avdibeg.dk/blog/2005/10/pyramid-found-in-heart-of-bosnia.html

ACTUALISATION Du 10.12.2005: Des informations supplémentaires ici

 

Où l'on reparle de Bimini...

L'archéologue William Donato et son équipe de chercheurs ont confirmé la découverte de ce qui pourrait bien être les restes d'un port antique dans les eaux peu profondes au large de Bimini (à 50 miles environ de Miami). L'équipe a étudié un alignement sous-marin peu connu de blocs de pierre localisé à un mile du très controversé site connu sous le nom de "Bimini Road". L'alignement a été repéré par avion, puis de nombreuses plongées ont prermis de découvrir de larges pierres calcaires de forme circulaire disposées en cercles. Ces cercles sont régulièrement espacés. On aurait également fait la découverte surprenante d'ancres marines, identiques à celles qu'utilisaient les anciens Phéniciens, Grecs ou Romains. Ces cercles font penser à des cercles d'amarrage fréquents en Méditerranée antique. Dans cette optique la fameuse "Bimini Road" aurait pu être une jetée, un brise-lames pour abriter le port.

En complément: un dossier PDF de 29 pages à l'adresse http://www.mysterious-america.net/Resources/Bimini%20HarborScreen.pdf

Une découverte fondamentale ? Un nouveau canular ? Il semble urgent d'attendre quelques confirmations...

 

DÉCEMBRE 2005:

Atlantis, de David Gibbins (roman)

Présentation de l'éditeur: 9000 ans av. J.-C. : Selon les textes de Platon, au-delà des colonnes d'Héraclès, au beau milieu de l'océan Atlantique, se dressait une île peuplée par les Atlantes, un peuple de guerriers particulièrement en avance sur son temps. Pourtant, en l'espace d'un seul jour et d'une seule nuit funestes, l'Atlantide fut engloutie par les flots. Sans laisser de traces.

2004, au large de la Grèce : Lors de l'exploration sous-marine d'une épave minoenne, Jack Howard et son équipe d'archéologues mettent la main sur un disque en or massif d'un éclat intense qui, pourrait bien être la clé de la cité perdue.

2004, nécropole en Egypte : Le professeur Hiebermeyer découvre avec stupéfaction, sur le corps emmailloté d'une momie du sixième siècle av. J.-C, un papyrus rédigé en grec de l'époque de Ptolémée. Plus étonnant encore, ce papyrus mentionne le mot Atlantis et donne la carte de la cité perdue. Coïncidence ou manipulation ? A partir de ces deux découvertes, c'est toute la science archéologique qui est remise en cause.

Même les scientifiques les plus sceptiques doivent se rendre à la raison : l'Atlantide n'est peut-être pas un mythe, un âge d'or légendaire... mais une réalité. Jack et Katya, une archéologue russe aussi séduisante que brillante, décident alors de mener leur enquête sur les causes de la disparition de l'Atlantide et partent à sa recherche. Mais ils ne sont pas les seuls à connaître l'emplacement de la cité perdue... Ce qu'ils ont trouvé dépasse leurs rêves les plus fous mais aiguise les convoitises de chercheurs plus ou moins scrupuleux et de guérilleros prêts à tout pour mettre la main pur le trésor des Atlantes.

Éditeur : Editions Générales First / Broché - 406 pages

 

 
[ Haut de page ] [ Accueil ] [ Plan du site] [ Index de la section ]