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OCTOBRE 2005:
Yume
ni rakedo motometari
Yume
ni rakedo motometari (je cherche la paix
dans mes rêves)... est un site né la même
année que "L'Épopée Atlante",
en 2001. Il est actuellement un peu ensommeillé
et on aimerait que cette "actualité" redonne
à son "auteure" l'envie de se réveiller...
L'info du mois dernier concernant le "blog" "En
direct de l'Atlantide" nous a fait souvenir, en effet,
qu'il y avait eu un précédent... "YUME NI..."
est avant tout un roman qui compte déjà 22
chapitres passionnants et même si les livraisons
sont irrégulières l'histoire mérite
de se dérouler jusqu'à son terme... Allez !,
Marie-Aude, au travail ! ... |
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LA
PREMIÈRE TRADUCTION FRANÇAISE INTÉGRALE
DU OERA LINDA BOK
Présentation
Dans
la seconde moitié du XIXe siècle, le Docteur J.G.
Ottema, fermement convaincu de son authenticité, fit paraître
à Leeuwarden, en Frise néerlandaise, un livre étrange,
prétendument transmis de génération en génération,
qui lui avait été confié pour traduction
par Cornelis over de Linden, premier contremaître des chantiers
navals de Den Helder (Hollande). Il l’intitula THET OERA
LINDA BOK.
L’ouvrage, était un fourre-tout de style biblique,
mêlant genèse, textes religieux et sapientiaux, codes
de lois, récits de périples de hardis navigateurs
frisons, paraboles et relations historiques plus ou moins légendaires.
Il était rédigé dans une langue particulière,
différente tant de l’ancien frison que de l’ancien
néerlandais et usait d’un alphabet propre qui évoquait
quelque peu l’alphabet grec.
L’engloutissement de l’Altland
(la vieille terre), en 2193 avant Jésus-Christ, y marquait
le début de l’ère frisonne. Le peuple frison
y était présenté comme l’inventeur
de l’écriture, du droit et de la démocratie.
Dès sa parution, l’ouvrage suscita aussi bien l’intérêt
que la méfiance et la polémique. La plupart fondaient
leur scepticisme sur les étymologies cocasses, l’invariabilité
de la langue au cours du millénaire et demi qu’aurait
duré sa rédaction, et l’importance démesurée
accordée au peuple frison.
D’autres, comme le triple Docteur Frans J. Los, y relevaient
des données inconnues de tous au XIXe siècle et
estimaient qu’on pouvait, avec la circonspection nécessaire,
utiliser ce manuscrit comme source historique.
En tout cas, l’intérêt pour THET OERA LINDA
BOK ne s’est jamais démenti : à ce jour, on
lui a consacré quelque mille publications. De nombreux
sites Internet s’y réfèrent. Le mouvement
New Age s’en est emparé. Il existe même des
groupes qui y puisent leur règle de vie.
D’emblée, on chercha à démasquer le
faussaire ou le mystificateur. On désigna d’abord
Cornelis over de Linden puis Eelco Verwijs, éminent linguiste
et historien de la littérature.
En 2004, Goffe Jensma, historien de la culture et spécialiste
de la littérature frisonnes du XVIe au XIXe siècle,
a consacré au OERA LINDA BOEK (graphie néerlandaise)
une thèse de 467 pages où il développe les
révélations posthumes de Johan Winkler (1840-1916) :
l’auteur en serait le pasteur moderniste François
HaverSmidt. Pour ridiculiser le littéralisme des chrétiens
traditionalistes, il aurait eu l’idée d’écrire
un texte d’allure biblique dont il aurait eu l’intention
de révéler ensuite la fausseté. Il aurait
recouru pour ce faire aux connaissances linguistiques d’Eelco
Verwijs et aurait confié la confection matérielle
du manuscrit à Cornelis over de Linden. La naïve conviction
de son ancien professeur Ottema serait venue contrecarrer ses
plans et imposer le silence au trio.
Magistralement orchestrée par Goffe Jensma, cette présentation
des faits paraît très vraisemblable. Jensma reconnaît
toutefois qu’on ne peut dépasser le stade de la spéculation
et étayer juridiquement l’opinion de Winkler.
Il apparaît par ailleurs que Cornelis over de Linden disposait
bel et bien d’écrits anciens disparus après
incorporation dans l’OERA LINDA BOEK. L’OLB, une mystification
? Sans doute ! Mais à partir de sources bien réelles
? Quant aux questions posées par Los, Jensma ne les aborde
même pas. Le débat n’est donc pas clos. Cette
première traduction française intégrale entend
permettre au public francophone de se faire une opinion.
L'ouvrage
L’ouvrage
compte 214 pages A4 disposées horizontalement de façon
à pouvoir rassembler sur une même page, la page originale
photocopiée (parfaitement lisible parce que le copiste
écrivait très grand), la transcription dans notre
alphabet, la traduction française et les notes de Jacques
FERMAUT. Il s’ouvre sur un AVIS DU TRADUCTEUR AU LECTEUR
de 2 pages et sur 18 pages d’introduction du docteur J.G.
OTTEMA et se clôt sur une table des matières. Il
est vendu au prix de 25 € plus 5 € pour envoi par
la poste sous enveloppe matelassée.
L'auteur
(chez qui on peut se procurer le livre)
Jacques
FERMAUT, auteur de cette traduction indispensable est Flamand
de France, bilingue, licencié en lettres et en néerlandais.
Son adresse: 13, rue de l'Eglise / 59380 BIERNE.
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NOVEMBRE
2005:
Une
"Pyramide du Soleil" en Bosnie ?
Près
de la ville de Visoko, à 30 kilomètres au nord de Sarajevo,
il y a une pyramide en pierre d’une taille monumentale affirme
l'archéologue bosniaque Semir Osmanagic, qui vit et travaille
aux Etats-Unis. Après plusieurs mois de recherche géologique
et archéologique, M. Osmanagic a conclu que sous la colline de
Visocica se dissimule une pyramide à degrés vieille d’environ
12 000 ans. Osmanagic, qui a étudié intensivement
les pyramides d’Amérique, d’Asie et d’Afrique
pendant les 15 dernières années et a écrit plusieurs
livres sur le sujet, dit qu'il est tout à fait sûr il a
trouvé la première pyramide en Europe, qui soit tout à
fait semblable à celles de l’Amérique méridionale.
Au sommet de la pyramide bosniaque « du soleil » se trouvait
un temple, construit par des pre-Illyriens, peuple qui a vécu,
selon Osmanagic, il y a 27 000 ans. M. Osmanagic pense qu'il résoudra
le mystère de "la pyramide bosniaque du soleil" dans
les cinq années à venir, mais tente de prouver également
l'existence "de la pyramide bosniaque de la lune", se trouvant
sous une colline voisine. La pyramide est haute de 100 mètres
et évidemment elle contient des salles et une chaussée
monumentale. Le plateau est construit à l’aide de blocs
de pierre, qui indiquent la présence à l'époque
d'une civilisation fortement développée. Les excavations
archéologiques près de la surface ont permis de mettre
à jour un pan de mur et des fragments d’escalier. Le géologue
Nada Nukic indique que la colline de Visocica ne pourrait pas avoir
été formée ainsi naturellement. Affaire à
suivre...
source:
http://dino.avdibeg.dk/blog/2005/10/pyramid-found-in-heart-of-bosnia.html
ACTUALISATION
Du 10.12.2005: Des informations supplémentaires ici
Où
l'on reparle de Bimini...
L'archéologue
William Donato et son équipe de chercheurs ont confirmé
la découverte de ce qui pourrait bien être les restes d'un
port antique dans les eaux peu profondes au large de Bimini (à
50 miles environ de Miami). L'équipe a étudié un
alignement sous-marin peu connu de blocs de pierre localisé à
un mile du très controversé site connu sous le nom de
"Bimini Road". L'alignement a été repéré
par avion, puis de nombreuses plongées ont prermis de découvrir
de larges pierres calcaires de forme circulaire disposées en
cercles. Ces cercles sont régulièrement espacés.
On aurait également fait la découverte surprenante d'ancres
marines, identiques à celles qu'utilisaient les anciens Phéniciens,
Grecs ou Romains. Ces cercles font penser à des cercles d'amarrage
fréquents en Méditerranée antique. Dans cette optique
la fameuse "Bimini Road" aurait pu être une jetée,
un brise-lames pour abriter le port.
En
complément: un dossier PDF de 29 pages à l'adresse http://www.mysterious-america.net/Resources/Bimini%20HarborScreen.pdf
Une découverte fondamentale ? Un nouveau canular ? Il semble
urgent d'attendre quelques confirmations...
DÉCEMBRE 2005:
Atlantis,
de David Gibbins (roman)
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Présentation
de l'éditeur: 9000 ans av. J.-C. : Selon les
textes de Platon, au-delà des colonnes d'Héraclès,
au beau milieu de l'océan Atlantique, se dressait une
île peuplée par les Atlantes, un peuple de guerriers
particulièrement en avance sur son temps. Pourtant, en
l'espace d'un seul jour et d'une seule nuit funestes, l'Atlantide
fut engloutie par les flots. Sans laisser de traces.
2004,
au large de la Grèce : Lors de l'exploration sous-marine
d'une épave minoenne, Jack Howard et son équipe
d'archéologues mettent la main sur un disque en or massif
d'un éclat intense qui, pourrait bien être la clé
de la cité perdue.
2004,
nécropole en Egypte : Le professeur Hiebermeyer découvre
avec stupéfaction, sur le corps emmailloté d'une
momie du sixième siècle av. J.-C, un papyrus rédigé
en grec de l'époque de Ptolémée. Plus étonnant
encore, ce papyrus mentionne le mot Atlantis et donne la carte
de la cité perdue. Coïncidence ou manipulation ?
A partir de ces deux découvertes, c'est toute la science
archéologique qui est remise en cause.
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Même
les scientifiques les plus sceptiques doivent se rendre à la
raison : l'Atlantide n'est peut-être pas un mythe, un âge
d'or légendaire... mais une réalité. Jack et Katya,
une archéologue russe aussi séduisante que brillante,
décident alors de mener leur enquête sur les causes de
la disparition de l'Atlantide et partent à sa recherche. Mais
ils ne sont pas les seuls à connaître l'emplacement de
la cité perdue... Ce qu'ils ont trouvé dépasse
leurs rêves les plus fous mais aiguise les convoitises de chercheurs
plus ou moins scrupuleux et de guérilleros prêts à
tout pour mettre la main pur le trésor des Atlantes.
Éditeur
: Editions Générales First / Broché - 406 pages
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