JANVIER 2005:
En
revue...
Le
numéro de Janvier 2005 du mensuel "Sciences & Avenir"
consacre une page entière [ toute une page :-) rien
qu'une page :-( ] à l'Atlantide. (Enfin finalement
ce n'est qu'une demi-page étant donné qu'il y a une grande
carte...) Dans le cadre du grand cirque médiatique qui a accompagné
l'expédition Sarmast le magazine a cru bon de faire cet "articulet"
qui lui donne surtout l'occasion de recenser une douzaine de localisations
pour finir par conclure - évidemment...- que puisque personne
n'est d'accord c'est bien la preuve que... etc...etc.. (air connu).
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Reçu
du Québec:
Bonjour,
votre site web fait partie de la rubrique CONTES, LÉGENDES
ET HISTOIRES MYSTÉRIEUSES de notre guide des 1200 sites
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Continuez votre bon travail!
Michael Thériault, directeur de la publication Magazine
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amerimag@editions.net ou dans les kiosques à journaux
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L'hypothèse
irlandaise
A
l'adresse http://www.atlantisinireland.com/
une présentation de l'hypothèse d'Ulf Erlingsson
dont est tirée la carte ci-contre qui est en quelque
sorte un résumé de la théorie qui associe
plus ou moins Atlantide, Irlande et civilisation mégalithique.
(remarquons que, même si le "centre" est supposé
en Irlande, cette hypothèse, finalement, en recouvre
partiellement d'autres ou en tous cas ne les exclut pas: Doggerbank-Helgoland,
Gibraltar-Maroc, Sicile, etc...
Sur
le site de l'éditeur de son livre (voir Actualités
Atlantes du 4°T.2004) on a des arguments aussi convaincants
que "the certainty that Ireland is the lost Atlantis
is even higher than 99.98 percent". On
admire la précision tout en se demandant quand des auteurs
-apparemment- sérieux cesseront de se décrédibiliser
à coup de déclarations stupides de cet acabit...
( http://newsroom.eworldwire.com/view_release.php?id=11134
)
Malgré
cela, cette hypothèse continue à nous sembler
intéressante (en tant que description de la "base
européenne" d'une Atlantide plus ... occidentale.)
Erlingsson
compte présenter les résultats de son étude
à une conférence scientifique internationale qui
doit avoir lieu en Grèce au mois de Juillet, nous aurons
donc l'occasion d'en reparler cette année.
(Merci
à Emmanuel pour le lien)
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Où
l'on reparle de Georgeos Díaz-Montexano (*)
Rien
de bien neuf de ce côté-là malgré l'annonce
de "découvertes" et d'"évidences archéologiques
sous la mer". Aucune institution scientifique destinataire du rapport
n'ayant encore réagi. Pourtant, nous avons avec cette hypothèse
" a location that agrees in a 99,9% with the
descriptions offered by Plato". C'est un peu moins bien qu'Erlingsson,
mais c'est quand même... conséquent !... (même
remarque que précédemment)
Malgré l'absence de nouveauté on s'aperçoit
en lisant l'article qu'il s'agit surtout de bouger pour exister car
la (trop) bonne couverture médiatique de l'expédition
Sarmast a fait un peu d'ombre aux autres...
http://www.noticias.info/asp/aspComunicados.asp?nid=45131&src=0
[
(*) voir : Actualités atlantes du 2°T.2004
]
(Merci
à Emmanuel pour le lien)
Publication
de l'Université Stendhal ( Grenoble 3)
Le
Mythe littéraire de l'Atlantide (1800-1939)
Les
grands mythes grecs défient le temps. Mais tous n'ont pas,
comme c'est le cas pour l'Atlantide engloutie, une vocation singulière
à être commentés, discutés, reconfigurés
dans des discours diversifiés répondant, selon les
cas, au besoin d'évasion, à la réflexion
philosophique ou à la curiosité scientifique. Il
est vrai que Platon, dans le Timée et le Critias, avait
su donner les couleurs attrayantes d'une fable mystérieuse
à des questions fondamentales pour toute société
: les origines du monde, la naissance et la mort des civilisations,
les accès de barbarie dans l'Histoire. Depuis le Romantisme
allemand, où l'île disparue figure le Paradis perdu
des poètes, jusqu'à l'entre-deux-guerres, où
le fantasme du " déclin de l'Occident " réactive
la vision platonicienne de la cité déchue, le mythe
déploie toutes sortes de paradoxes, il reste placé
sous le double signe de l'origine et de la fin. Dans cette optique,
ce livre propose une étude comparatiste des réécritures
du mythe de l'Atlantide parues en Europe et aux États-Unis
à une époque où la vogue croissante du thème
est étroitement liée aux découvertes de la
science, aux influences contrastées du positivisme et de
l'occultisme, enfin aux crises politiques. Éclairée
par l'histoire des idées, l'enquête distingue les
affleurements les plus significatifs du mythe dans la production
littéraire, son investissement massif par le roman d'aventure
et de science-fiction, et aussi son inflexion vers la quête
symbolique. |
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INTRODUCTION / PREMIÈRE PARTIE Le scénario romanesque
/ - 1. Enquête sur un continent disparu / - 2. Permanence du récit
manichéen / - 3. Une histoire d'amour // DEUXIÈME PARTIE
Retour aux origines / - 4. Le passé recomposé / - 5. L'Atlantide
entre histoire naturelle et histoire sacrée / - 6. La barbarie
en question ou la réactualisation de l'Atlantide / - 7. De Novalis
à Hauptmann : l'art comme Paradis perdu / CONCLUSION / BIBLIOGRAPHIE
/ INDEX / (378 p.) /
http://www.u-grenoble3.fr/ellug/
FÉVRIER
2005:
L'Ennemi
de l'Atlantide a encore frappé !
Depuis
le "-------- ----" on savait que ----- ------ n'était
pas spécialement "atlantophile", son nouvel opus confirme
que sa pensée n'est plus susceptible d'évolution notoire.
Partagé entre hellénisme et --------, l'ex-"intellectuel
de référence" se déchaîne encore une
fois contre tout ce qui, de près ou de loin, est en relation
avec l'Atlantide. Depuis que l'idéologue d'------, a (hélas...)
fait des Atlantes les ancêtres des Germains, ----- ------ n'a
plus qu'une obsession: convaincre que toute recherche -sérieuse
ou non- sur le sujet, a des relents de ------------, voire de --------
----------! Et les médias, bien en rangs, de relayer cela comme
de bons petits soldats de la pensée unique et d'encenser "le
fossoyeur de l'Atlantide".
On
pourra donc éviter d'acheter ce livre, paru aux éditions
Les "------" Lettres qui, pour une fois, portent bien mal
leur nom.
MARS
2005:
Les
routes de l'Atlantide par A. Collins
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Collins
s’attaque au mystère de l’Atlantide avec sa
méthode habituelle : faire fi des a priori, examiner toutes
les données disponibles, user d’audace. Et de rigueur
: éviter une interprétation trop subjective des
témoignages anciens, ne pas monter en épingle des
indices isolés.
Collins
interroge Phéniciens, Grecs, Egyptiens, Aztèques,
Arabes, Portugais, et accumule une incroyable quantité
de données. Le récit de Platon est-il vraiment une
fable politique ? Pourquoi des momies égyptiennes sont-elles
imprégnées de coca, plante américaine ? Comment
expliquer les parentés linguistiques entre ancien et nouveau
mondes ? D’où les découvreurs de l’Amérique
tenaient-ils leurs connaissances maritimes ? Quel événement
ravagea l’hémisphère occidental il y a des
milliers d’années, auquel tous les mythes méso-américains
semblent faire allusion ?
Dans
cette masse d’informations, Collins se fraie un chemin,
dégage des faisceaux d’indices et nous propose une
conclusion étonnante. Comme dit David Rohl, égyptologue,
« votre voyage ne sera pas de tout repos mais la récompense
sera à la mesure de votre effort ».
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Table
des matières : Introduction / La quête commence / 1re partie
: Découverte / Le vieux prêtre raconte / L’héritage
égyptien / L’Atlanticus / Vue sur l’Atlantide / Les
îles des Bienheureux / Quarante jours de voile / Signes de catastrophe
/ 2e partie : Contact / Trafic de stupéfiants / Des éléphants
chez les Olmèques / Les marchands de murex / Naufrages et navigateurs
/ Les voyageurs de l’Atlantique / 3e partie : Conquête /
Retour au paradis / L’exalté / Les dieux venus d’ailleurs
/ Le peuple du Serpent / La terre rouge des ancêtres / A l’heure
du choix / 4e partie : Destruction / La lune brisée / Le serpent
de feu / Billard cosmique / La fin de l’âge glaciaire /
5e partie : Émergence / Secrets engloutis / Sortie du grand bleu
/ L’odyssée de Votan / Pléiades à sonnettes
/ Annexes / Post-scriptum / Bibliographie / Index
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