L'épopée atlante ((( Actualités atlantes - 3ème trimestre 2004 ))) |
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L'Atlantide au Kirghizistan ??? En cette fin Juillet, une expédition russo-kirghize est partie à la recherche de l’Atlantide en un lieu peut-être inédit. On ne pensait pas qu’il puisse encore y en avoir ! Les recherches vont s’effectuer au Kirghizistan (capitale Bishkek, d’où nous parvient cette information…) dans les profondeurs du lac Issyk-Kul. Les légendes locales rapportent en effet d’étranges histoires au sujet d’une île disparue dans ce lac de montagne et la trace encore visible de fortifications près de la côte nord. Les pêcheurs kirghiz affirment avoir entrevu des constructions en pierre dans les profondeurs du lac. L’an dernier, des archéologues avaient découvert, à proximité, deux chaudrons sacrificiels en bronze qui sont en cours de datation. Les gens du cru ont aussitôt baptisé "Atlantide" cette autre probable ... Is !
AOUT 2004: Les résultats des dernières investigations de Georgeos Diaz-Montexano sont à découvrir à l'adresse suivante: http://www.atlantisdiscovery.com/NEWS/, on y trouvera en particulier de très nombreux liens vers des articles (en espagnol et en anglais) concernant notamment sa découverte en Andalousie d'un gigantesque géoglyphe (600 m) représentant une tête de pharaon égyptien !... Non, il ne s'agit pas d'un fragment de message secret, mais d'une alerte lancée par plusieurs scientifiques concernant le manque de vigilance des autorités quant à la surveillance des éléments susceptibles de provoquer un ... Gee-Gee ( c'est-à-dire un "Global Geophysical Event"). Parmi tous ces événements, les mégatsunamis semblent avoir été quelque peu négligés. Rappelons qu'à la différence des tsunamis causés par des tremblements de terre, les mégatsunamis sont causés par une combinaison de tremblements de terre et de mouvements rocheux (effondrement d'une falaise ou même d'un volcan). Les scientifiques avancent l'idée que la chute d'un météorite pourrait aussi causer un mégatsunami. Lorsque les scientifiques ont compris que des chutes rocheuses importantes pouvaient provoquer des mégatsunamis, ils ont commencé à chercher à quel endroit, sur la planète, un affaissement rocheux pourrait se produire. Les géologues ont conclu qu'il fallait surveiller les îles volcaniques. Ces îles sont formées par une accumulation de lave qui se refroidit et se solidifie. Comme elles sont aussi constamment érodées par le mouvement océanique, elles sont de nature plutôt instable et peuvent s'affaisser. Des indices géologiques démontrent qu'il y a plusieurs siècles, des pans complets de volcans sont tombés, provoquant de terribles raz-de-marée. Ce fut le cas pour l'île d'Oahu, près d'Hawaii. Une partie de la falaise Tuscaloosa est venue s'écraser dans l'océan. Et on ne parle pas ici d'un simple éboulement de pierres. Les marques géologiques confirment que la partie qui s'est détachée de la falaise devait représenter 10 fois le volume de l'Everest! Le mégatsunami que cela a provoqué a frappé toute la côte ouest des États-Unis. Ce
type de "Gee-Gee-là" pourrait bien être après
tout une alternative crédible aux hypothèses avancées
pour la destruction de l'Atlantide !
En ce moment, c'est l'île de La Palma dans les Canaries qui est particulièrement visée. Des scientifiques suisses s'y sont rendus pour étudier l'activité volcanique de cette île qui possède deux volcans. Un des deux volcans est maintenant éteint, mais le deuxième, le Cumbre Vieja, est toujours en activité et est particulièrement instable. Lors de la dernière éruption, en 1949, les géologues ont noté qu'il s'y était formé une fissure de quatre mètres de largeur, sur une distance de deux kilomètres. Ceci signifie qu'à l'occasion d'une nouvelle éruption par exemple une partie du Cumbre Vieja, un demi-milliard de tonnes de roches, menace de s'écraser dans l'océan.
Si cette partie s'effondrait en un seul morceau, les scientifiques prévoient que cela créerait un mégatsunami dont la première vague, la moindre, aurait une hauteur de 650 mètres. Le mégatsunami serait ensuite poussé par sa propre énergie à une vitesse de 720 km/h jusqu'à la côte est des États-Unis. En huit heures, le mégatsunami aurait traversé l'océan Atlantique et inonderait toute la côte américaine, engloutissant la ville de Miami, une partie de Boston et de New York. Une catastrophe totalement envisageable daprès les scientifiques, dans les cent ans à venir. "Demain", ou plutôt "tout à l'heure" à l'échelle géologique!...
Sahara: découverte des ruines d'une cité datant de 15.000 ans ! Les vestiges d'une cité préhistorique ont été récemment découverts au Sahara occidental. Une équipe de scientifiques marocains est tombée sur les ruines, recouvertes de sable, de la cité d'Arghilas, profondément à l'intérieur du territoire, administré par le Maroc. Les vestiges d'un lieu de culte, de maisons et d'une nécropole, ainsi que des colonnes et des gravures d'animaux sur pierre, ont été retrouvés sur le site, non loin de la ville d'Aousserd, dans le nord-est du Sahara occidental. Cette zone reculée est connue pour ses gravures préhistoriques abondantes. Il semble que les scientifiques en soient arrivés à l'estimation de 15.000 ans à en juger par le style des gravures et le thème des dessins. SEPTEMBRE 2004: L'Amérique découverte par des Aborigènes Révélation choc qui ne plaira pas aux Amérindiens : leurs ancêtres arrivés d'Asie centrale par le détroit de Béring asséché n'étaient pas les premiers à fouler le sol Américain. Ils ont été précédés par des Aborigènes venus d'Australie. C'est l'étonnante conclusion à laquelle est arrivée Silvia Gonzalez, géo-archéologue, et son équipe de l'Université John Moores de Liverpool, en Grande-Bretagne. C'est en étudiant les caractéristiques morphologiques de crânes trouvés dans le désert près de Mexico City qu'elle a vu la ressemblance avec les Australiens. Ces crânes mexicains, hauts et étroits, ne ressemblent guère à ceux des Amérindiens, plus ronds et trapus. La datation au carbone-14 a révélé un âge de 12 700 ans pour le plus anciens des crânes, faisant ainsi de lui le plus ancien vestige humain connu de toutes les Amériques. Le plus surprenant, c'est que ce peuple d'origine australienne, arrivé il y a plus 13 000 ans, probablement par bateau, d'île en île, aurait peut-être persisté jusqu'à il y a 200 ou 300 ans. Les descriptions des premiers Jésuites arrivés dans l'ouest du Mexique au 18ème siècle, relatent en effet un peuple de chasseurs-cueilleurs, les Pericues, au corps mince et s'alimentant principalement de mollusques. Cette tribu maintenant éteinte pourrait donc avoir été la première à peupler l'Amérique. Il s'agit là d'un débat qui fait déjà bien des remous en anthropologie : quand et comment le peuplement des Amériques s'est-il fait et, surtout, par qui ? Une seule vague de colonisation ou plusieurs successives ? La nouvelle hypothèse, basée sur l'étude de matériel inédit, apporte encore de l'eau au moulin. L'équipe d'archéologues à bien l'intention de mener des tests d'ADN sur les ossements retrouvés et de les comparer avec celui des Aborigènes actuels afin de confirmer ce qu'ils avancent. Cela signifierait que les ancêtres des Amérindiens n'ont pas été les premiers arrivants sur le continent et qu'au moins un peuple, et pourquoi pas plusieurs, les a devancés. Sachant qu'une telle confirmation pourrait mettre en péril certains droits ancestraux des autochtones, de belles querelles sont à prévoir… Les
Irlandais et les Écossais ne sont pas Celtes La croyance populaire veut que les habitants de l'Irlande et de l'Écosse descendent des Celtes, un peuple alpin originaire d'une région située à l'est de l'actuelle France, au sud de l'Allemagne. Ils se seraient dispersés vers l'ouest de l'Europe pour atteindre les îles atlantiques il y a 2500 ans. Cette idée semblait appuyée par le fait que les langues celtes, aujourd'hui principalement parlée dans les Îles, étaient largement utilisées en Europe de l'ouest et du centre avant la chute de l'Empire Romain. Mais de récents tests génétiques viennent mettre cette hypothèse au défi. L'ADN d'Européens de toutes nationalités a été analysé par des généticiens du Trinity College de Dublin et les liens de parenté entre différents groupes ont pu être estimés. Première constatation, les peuples ‘celtes' – Écossais et Irlandais - ont plus d'affinités génétiques avec les Espagnols et les Portugais qu'avec tout autre groupe Européen. On arrive même à suggérer une date de séparation des deux groupes qui remonterait aux environ de 6000 ans, soit la fin de l'ère glaciaire. Les peuples de la péninsule ibérique auraient donc été en contact étroit avec les îles britanniques pendant de nombreux siècles, peut-être pendant 3000 ans. Par la suite, les « vrais » Celtes d'Europe centrale ont probablement effectivement atteint les îles, mais à leur arrivée, un peuple venu d'Espagne était déjà là depuis longtemps. Les Celtes y ont laissé leur culture puisqu'elle y est omniprésente, mais pas leurs gènes. Ces travaux, paru dans l'American Journal of Human Genetics, démontrent aussi une forte parenté des insulaires avec les Basques, qui eux ne sont pas celtes du tout. Les habitants des régions traditionnellement qualifiées de celtes sont aussi fortement liés les uns aux autres, les Irlandais ayant plus de points communs avec les Écossais qu'avec tout autre nation. Et cette proximité remonte à beaucoup plus longtemps que les années 1600, quand d'importantes vagues migratoires ont vu des Écossais s'installer en Irlande du Nord à la recherche de terres fertiles. Les cheveux roux et les taches de rousseurs, un legs espagnol ?
Reconstitution
de l’astéroïde Toutatis par ordinateur. Toutatis a été découvert le 4 janvier 1989 par le Français Christian Pollas à l’observatoire de la Côte d’Azur. Il mesure 4,6 km sur 2,4 km. Une partie de son orbite se trouve dans celle de la Terre. Cette année l’astéroïde passe très près de la Terre : le record a été atteint mercredi 29 septembre avec seulement 1,5 million de km, soit quatre fois la distance Terre-Lune. Dans le ciel nocturne il est apparu comme un point en mouvement environ seize fois moins lumineux que les plus faibles étoiles visibles à l’œil nu. C’est surtout depuis l’hémisphère sud qu’il a été visible. D’après les calculs des astronomes, un passage aussi proche ne s’était pas produit depuis 1353 et ne se reproduira pas avant 2562.
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